En douceur le doux soleil de septembre . Tombant doucement sur ma peau brun foncé. Je le sens jouer partout. La même brise, très légère sur les feuilles, se déplace légèrement entre la nudité et mes vêtements orange. Je suis agréablement témoin de ce bien-être si gracieusement offert par la nature. Que je pouvais passer tout l'après-midi sous les branches apaisantes des pins. Et dans un parfait silence - le calme chuchote. Le langage et les sensations ne font qu'un.

Et - en soumettent mon esprit Tout ce qui est poétique filtre dans l’état de ma conscience. Et… je bougerais à peine d'ici, je continue à écouter les frappes, les poussées silencieuse de la vie.. presque sensuel dans son unité. Les reins de la terre et les miens ne font qu'un. Je ressens un sentiment d'éveil. Lorsque l'esprit et le corps s'imbriquent spontanément,la profondément, les courants de conscience vous transportent à la source même où la vie palpite.  Vous palpitez jusqu'au bout de l'univers et vous pouvez sentir les étoiles respirer sur votre visage. Le soleil et la lune s'enfoncent dans vos pupilles et y restent .... en regardant autour de toi, ce n'est pas toi qui regarde à travers la félicité de cette solitude, mais le soleil et la lune ... dans l'allumage, assez attentif pour illuminer indistinctement comme si les lampes de la méditation expulsent les bruits de pensées.